Date
de parution : 29-10-2015
Prix : 19 euros
Résumé :
Fraîchement promue vice-conteuse, Ophélie découvre à ses dépens les haines et les complots qui couvent sous les plafonds dorés de la Citacielle. Dans cette situation toujours périlleuse, peut-elle seulement compter sur Thorn, son énigmatique fiancé ? Et que signifient les mystérieses disparitions des personnalités influentes à la cour ? Ophélie se retrouve impliquée malgré elle dans une enquête qui l'entraînera au-delà des illusions du Pôle, au coeur d'une redoutable vérité.
Ce que j’en ai pensé :
Ce deuxième tome est mon coup de cœur de la saga. C’est
celui avec lequel je me suis perdue dans le temps, vivant à travers Ophélie les
nombreuses péripéties qui se sont mises sur son chemin. J’ai adoré cette
lecture ! L’ambiance était nouvelle, pesante, intrigante.
J’ai aimé le fait qu’Ophélie s’émancipe, qu’elle prenne ses
propres décisions et qu’elle arrête de se faire marcher sur les pieds. J’ai
découvert une nouvelle facette d’elle qui m’a beaucoup plu. On perçoit l’évolution
qu’elle a parcourut depuis le premier tome.
Ah et, ce que je préfère : l’histoire d’amour qui prend
petit à petit racine entre elle et Thorn. Enfin, entre Thorn et elle d’abord. D’habitude,
je ne suis pas friande d’histoires d’amour. J’ai fini par m’en lasser au fur et
à mesure d’en lire, trouvant que beaucoup se ressemblaient et n’étaient pas très
approfondies. Mais, la romance entre Thorn et Ophélie est l’une de mes préférées !
Elle prend son temps, telle une graine qui aurait besoin qu’on l’arrose afin d’avoir
le courage de pousser pour sortir son nez dehors. C’est ça que j’aime ! Ce
n’est pas précipité, les sentiments s’installent petit à petit, ils apprennent
à se connaître avant de faire le grand saut. Bref, j’adore ! Même si la
scène du baiser volé sur le pont est
très crispante, on ne peut que s’attendre à ce que les choses s’améliorent par
la suite !
Et que dire de Thorn… Il m’a fait fondre. Cet homme, d’apparence
froid et distant, s’ouvre peu à peu et dévoile un côté tendre et tourmenté. On
comprend qu’il a été beaucoup blessé par le passé et que sa carapace s’est construite
afin de le protéger des autres. Sa famille est loin d’être composée de
charmantes personnes et n’a rien de parfait.
J’ai appris à apprivoiser le personnage de Berenilde et je l’ai
finalement apprécié. Pareille à Thorn, elle se donne une allure de femme
intouchable alors qu’un lourd secret l’a brisée à l’intérieur. Ses diverses frasques,
lors de sa grossesse, ont eu le don de me mettre hors de moi. Heureusement, la
tante Roseline (personnage que j’aime énormément également) était là pour la surveiller
ainsi que pour la tempérer !
L’histoire est très bien ficelée. Parfois, je pensais avoir deviné
le dénouement de l’intrigue, mais je me rendais compte, quelques pages plus
loin, que j’étais loin du compte. J’ai trouvé que les événements s’enchaînaient
vite, sans pour autant perdre de leur logique. J’ai adoré enquêter avec
Ophélie, la suivre tout au long des ses périples, …
Ce que j’ai préféré avant tout, c’est l’ambiance ! Parfois,
je me surprenais à avoir peur. Pas de l’effroi, mais bien du stress. Allait-elle
réussir à retrouver les disparus ? Allait-elle comprendre à quoi rimaient
ces disparitions ? Pire encore : allait-elle retrouver Archibald à
temps ? Car, oui, Archibald est l’un de mes personnages préférés ! J’adore
sa personnalité décalée et dérangeante, le fait qu’il ose dire ce que tout le
monde pense tout bas, sa façon de s’habiller comme si personne ne pouvait le
juger. Du coup, j’avais peur qu’il meurt,
On append également ce que contient une partie du Livre de Farouk. C'est à la fois électrisant et frustrant, car toutes les informations ne s'y trouvent pas. D'ailleurs, cela me permet également d'ajouter que la bienveillance dont fait preuve l'esprit de famille envers Ophélie m'a beaucoup touchée. Bien qu'il semble inaccessible, on comprend qu'une part de lui est restée enfant et cherche à répondre à de nombreuses questions restées sans réponse depuis trop longtemps.
Dieu reste l’intrigue de l’histoire. Je ne savais
pas quoi penser de lui. Est-il gentil ? Est-il méchant ?
Certains éléments de l’histoire laissent à penser qu’il est les deux à la
fois. Quant à l’autre, je l’ai trouvé très dérangeant, comme quelque chose de
nocif dont il est préférable de ne pas s’approcher.
MAIS c’est que j’ai aimé par-dessus-tout, c’est la
déclaration que fait Thorn à Ophélie, lorsqu’il est enfermé en prison. Bon, les
circonstances sont tout à fait tristes car il est sur le point de se donner la
mort, mais j’ai trouvé la scène si touchante… J’en ai eu la gorge nouée et les
larmes aux yeux. Car, oui, venant de Thorn, de tels mots provoquent d’office un
certain émoi. Il est en prison car il a voulu la protéger… Si ça ce n’est pas
une belle preuve d’amour, alors qu’est-ce ?
Et quelle catastrophe quand, à la fin, Ophélie parvient à
faire libérer THORN grâce à l'aide de Farouk, mais que celui-ci n’est plus dans
la cellule ! Et c’est sans compter les Doyennes qui la rapatrie de force
sur Anima, ne lui laissant aucune chance de retrouver son mari. Et oui, Ophélie et Thorn se marient grâce à l’aide
d’Archibald, en prison, si c’est pas romantique ça !
- La première fois que je vous ai vue, je me suis fait une piètre opinion de vous. Je vous croyais sans jugeote et sans caractère, incapable de tenir jusqu'au mariage. Ça restera à jamais la plus grosse erreur de ma vie.
- Ah, et au fait : je vous aime.
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La Passe-miroir, Tome III : La Mémoire de Babel
Éditeur :
Gallimard jeunesse
Nombre
de pages : 496
Date
de parution : 01-06-2017
Prix : 19 euros
Résumé :
Deux ans et sept mois qu'Ophélie se morfond sur son arche d'Anima. Aujourd'hui, il lui faut agir, exploiter ce qu'elle a appris à la lecture du Livre de Farouk et les bribes d'information divulguées par Dieu. Sous une fausse identité, Ophélie rejoitn Babel, arche cosmopolite et joyau de modernité. Ses talents de liseurs suffiront-ils à déjouer les pièdes d'adversaires toujours plus redoutables ? A-t-elle la moindre chance de retrouver la trace de Thorn ?
Ce que j’en ai pensé :
A peine ai-je commencé ma lecture que quelque chose me choque :
cela fait presque trois ans qu’Ophélie a été rapatriée de force sur Anima. En presque
trois ans, il a dû se passer pas mal de choses ! Et pourtant… Ophélie a
passé les dernières années à se morfondre, à se laisser aller, dans sa petite
chambre. Elle n’a plus le goût de rien et semble déterminée à trouver coûte que
coûte son cher et tendre.
Archibald arrive à sa rescousse et la libère de cette arche dont
elle semble prisonnière, constamment surveillée par la Rapporteuse, employée par les Doyennes elles-mêmes. La tante Roseline décide de suivre Ophélie, impatiente
de retourner vivre au Pôle, aux côtés de Berenilde et de Victoire, sa petite
fille. Leur évasion est hilarante dans le sens où elle se fait dans les
toilettes publiques.
Archibald est en quête de trouver Arc-en-Terre avec l’aide
de Renard et de Gaëlle. Il demande à Ophélie si celle-ci désire se joindre à
eux, afin de mettre un terme à la terreur que fait régner l’Autre et Dieu. Ophélie
décline et lui demande de l’envoyer sur Babel, contre les protestations de la tante
Roseline.
Une fois arrivée sur Babel, Ophélie change d’identité et prend
le nom de Eulalie. Elle est prête à tout afin de retrouver Thorn. Une carte postale,
que son grand-oncle lui a donné, l’a menée sur la trace de son époux. Les mimosas
plantés devant le bâtiment du Mémorial, apparaissant sur le fond de la carte
postale, lui ont soufflé que la réponse était sur Babel.
L’ambiance de cette arche est tout bonnement indescriptible.
Dès qu’Ophélie a posé le pied sur Babel, je me suis laissée emportée par le
flot d’humains, d’automates, de senteurs et de chaleur. L’histoire commence très
vite et nous place sur la route de Ambroise, un jeune adolescent en chaise
roulante et dont la particularité est celle-ci : tous ses membres son
inversés.
Au début, je ne savais pas si Ophélie pouvait avoir confiance
en lui. Après tout, Dieu possède plusieurs visages et est capable de se transformer
en n’importe qui. Finalement, une amitié se lie entre les deux personnages et Ambroise
se montre inoffensif.
Ophélie entre dans la Bonne Famille et, c’est à ce moment-là
que l’histoire prend une tournure dérangeante. Je ne saurais pas l’expliquer,
mais j’ai trouvé que son passage dans cet institut était très pesant. Parfois,
j’étais si mal à l’aise que cela me freinait dans ma lecture.
Ce qui était le plus frustrant, c’était l’absence de Thorn.
Je voulais à tout prix qu’Ophélie le retrouve. Pourtant, cela aurait été trop
simple et aurait rendu l’intrigue un peu bancale. Après coup, je me dis que ce
n’était pas plus mal qu’Ophélie n’ait pas retrouvé sa trace tout de suite.
Mais, finalement, Thorn apparait : il s’appelle Sir Henry
et fait partie des Lords de LUX. Leur rencontre est si frustrante : Thorn
ne lui jette pas un seul coup d’œil et Ophélie n’ose pas aller vers lui, de
peur de compromettre leur couverture et l’avancée de leur mission. Quand,
finalement, Thorn lui demande de la voir, seule, c’est encore plus vide.
Pas d’étreinte, pas de mots doux : les banalités sont de retour.
Il faut attendre encore un peu avant qu’Ophélie ne comprenne
ce que veut réellement Thorn : lui dire, à son tour, qu’elle l’aime également.
Et, à partir de là, olalala, qu’est-ce que j’aime. Il l’embrasse enfin et lui
dit qu’il ne lui laissera pas la liberté de revenir sur ce qu’elle a dit. Une
nouvelle facette de Thorn se dévoile et j’en suis complètement dingue !
Concernant le reste de l’histoire, il m’est arrivé de m’y
perdre parfois. Je pense que ce que j’ai le plus apprécié, c’est l’apparition
de Blasius, un Olfactif aussi maladroit qu’Ophélie peut l’être. Mais également
Octavio, un jeune homme qui aimerait se défaire de l’endoctrinement dont il est victime.
Un grand nombre d’événements se déroulent et j’ai trouvé que
cela rythmait l’histoire. J’ai tout de même apprécié lorsque l’apprentissage d’Ophélie
à la Bonne Famille a prit fin.
On en apprend davantage sur Dieu et l’Autre. Et, quel ne fut
pas mon choc lorsque Ophélie prend conscience que le vrai nom de Dieu est Eulalie
Dilleux. C’était là, sous mon nez « E. D » et pourtant, je n’ai
rien vu venir. Chapeau Christelle Dabos !
- Quand Thorn s’écarta finalement, le souffle court, ce fut pour clouer un regard de fer dans ses lunettes.
"Je vous préviens. Les mots que vous m’avez dits, je ne vous laisserai pas revenir dessus".
- Je vous aime, répéta t'elle d'un ton inflexible. C'est ce que j'aurais du vous répondre quand vous vouliez connaitre la raison de ma présence à Babel. C'est ce que j'aurai dû vous répondre à chaque fois que vous vouliez savoir ce que j'avais vraiment à vous dire. Bien sûr que je désire percer les mystères de Dieu et reprendre le contrôle de ma vie, mais... Vous faites partie de ma vie, justement. Je vous ai traité d'égoïste et à aucun moment je me suis mise, moi, à votre place. Je vous demande pardon.
- Cinquante-six.
Il désenroua sa voix d’un raclement de gorge. Jamais Ophélie ne l’avait vu aussi intimidé, en dépit des efforts qu’il déployait pour ne rien en montrer.
- C’est le nombre de mes cicatrices.
Elle ferma, puis rouvrit les yeux. Elle le sentit à nouveau, en plus violent encore, cet appel impératif qui lui venait du fin fond du corps.
- Montre-les-moi.
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La Passe-miroir, Tome IV : La Tempête des échos
Éditeur :
Gallimard jeunesse
Nombre
de pages : 576
Date
de parution : 28-11-2019
Prix : 19,90 euros
Résumé :
Les effondrements se multiplient, de plus en plus impressionnants : Babel, le Pôle, Anima... aucune arche n'est épargnée. Pour éviter l'anéantissement total il faut trouver le responsable. Trouver l'Autre. Mais comment faire sans même savoir à quoi il ressemble ? Plus unis que jamais, Ophélie et Thorn s'engagent sur des chemins inconnus où les échos du passé et du présent les mèneront vers la clef de toutes les énigmes.
Ce que j’en ai pensé :
C’est la panique à Babel ! Plusieurs parties de l’arche
se retrouvent touchées par des effondrements. Grâce aux informations qu'ont en leur possession Ophélie et Thorn, ils savent que cela est lié d’une
manière ou d’une autre aux échos qui se font de plus en plus fréquent.
Il n’y a plus de temps à perdre : il faut trouver l’Autre
et arrêter Eulalie Dilleux avant qu’il ne soit trop tard.
Cette Eulalie Dilleux qui a tellement en commun avec Ophélie
que c’en est perturbant. Ophélie perd parfois le fil de ses pensées, se
plongeant dans le passée de Eulalie, vivant ce que cette dernière pu elle-même vivre. C’est parfois étrange, on se demande même si Ophélie ne serait pas
Eulalie depuis le début.
Il n’a pas été tout le temps simple de comprendre ce qu’il
se passait. Certaines explications paraissaient si compliquées que je me suis perdue
en cours de lecture. Souvent, je me suis retrouvée face aux pages, les sourcils
froncés, les lèvres pincées, relisant les phrases afin de percer pleinement
leur sens.
Mis à part ça, quelle incroyable histoire ! On en
aurait presque le souffle coupé ! Le manque de temps est très perceptible
tout au long de l’histoire. Il faut agir au plus vite si l’on veut éviter la
fin du monde, la fin de tout.
Ophélie apprend qu’elle ne peut pas avoir d’enfant et cette nouvelle
me fait aussi mal à moi qu’à elle. J’aurais tellement aimé un dénouement heureux,
Ophélie et Thorn serrés l’un contre l’autre, regardant leurs enfants courir
dans l’immense jardin de leur propriété. Ca aurait été vraiment magique d’assister
à cette scène.
Elle intègre donc l’observatoire du Mémorial qui se penche sur
son cas. Etant inversée, elle va suivre un programme afin de remédier à ça.
Lors de son séjour à l’observatoire, elle en apprendra davantage sur le compte
de Eulalie Dilleux et de l’Autre, arrivant presque à entre en communication
avec un écho. Elle fait mieux : elle crée elle-même un écho et atteint la
dernière étape du troisième programme : la cristallisation. Cela la guérit
de sa maladresse et la fait sortir de l’observatoire.
On connaît enfin la vraie histoire de Eulalie Dilleux. On se
rend compte qu’elle a oublié qui elle est et qu’elle ne veut pas créer le chaos
autour d’elle. C’est son écho, l’Autre, qui est à l’origine de la future fin du
monde. D’ailleurs, Eulalie Dilleux n’est autre que Elizabeth et, ça non plus je
ne l’avais pas vu venir !
L’Autre est finalement mis hors d’état de nuire, mais au
prix du sacrifice de Thorn, de Renard et de Gaëlle. D’ailleurs, j’ai trouvé que
leur mort était passée en second plan, qu’on y accordait pas vraiment d’importance,
et j’au trouvé cela vraiment dommage… Imaginez un peu mon état lorsque j’ai
compris que Thorn était décédé… J’ai tout bonnement posé le livre près de moi
et fait une pause afin de me remettre de mes émotions (oui, je suis une
fragile okay ?). Surtout que leur histoire d’amour, avec Ophélie,
ne faisait que commencer ! Qu’il s’ouvrait à elle peu à peu, me faisant
fondre un peu plus…
Le gros problème que j’ai eu, avec ce tome, c’est la fin. Je
m’attendais à autre chose. Je m’attendais à plus. J’ai eu le sentiment que tout
s’était clôturé trop rapidement. Et, on en parle que Thorn ne réapparaisse pas ?
On en parle qu’il reste coincé dans le miroir, avec l’Autre, puisque c’est
grâce à lui que l’écho est déchu ?
La toute dernière phrase est lourde de sens, elle est belle
même. Mais j’aurais aimé une autre fin, quelque chose de plus concret. Peut-être
qu’après tout c’était ce que voulait Christelle Dabos : une fin adaptable pour
chacun, une fin que tout le monde peut s’imaginer ou créer.
En tout cas, pour ma part, ça m’a laissée sur ma faim…
- Tu mentionnais mon aspiration à vous libérer, toi et le monde. Je n’aspire à rien du tout. J’ai besoin que tu aies besoin de moi, c’est aussi élémentaire que ça. Et je sais pertinemment que, dans ce conflit d’intérêts qui nous oppose, je suis condamné à être le perdant. Parce que je suis plus possessif que tu ne le seras jamais et parce qu’il y a des choses que je ne peux pas remplacer.
- L’Autre s’est servi de moi pour échapper au contrôle d’Eulalie Dilleux et aujourd’hui Eulalie Dilleux se sert de moi pour retrouver l’Autre. Puisque ces deux-là me mêlent à leurs crimes, j’en fais une affaire personnelle.
- Nous.
Ophélie tourna la tête vers Thorn sans le voir. Dans ce brouillard, il n’était lui-même qu’un murmure lointain, un peu sinistre, et pourtant sa voix lui parut plus tangible que le sol sous ses sandales. D’un seul mot, il l’avait fait se sentir mieux.
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En conclusion...
La saga « La Passe miroir » est un
véritable coup de cœur. C’est une petite pépite à lire au moins une fois dans
sa vie. De par son univers extraordinaire, ses personnages atypiques, son ambiance
unique, c’est une saga qui a le mérite de nous faire voyager.
J’aurais pu faire une chronique plus détaillée, mais j’ai
préféré faire un condensé de ce que j’ai pu ressentir afin de vous donnez un
aperçu de ce qui vous attendra si jamais vous vous lancez dans cette aventure !
Vous ne le regretterez pas, promis !
Néanmoins, la part d’ombre reste la fin, trop floue et rapide à mon
goût. Mais cela n’ampute en rien le plaisir que j’ai eu à voyager sur les différentes arches et à me glisser dans la peau de Ophélie.
Merci d'avoir lu jusqu'au bout ! N'hésitez pas à me donner vos avis sur cette saga si vous aussi vous l'avez terminée !
Ma prochaine lecture est "The kingdom" un roman que la maison d'édition Casterman m'a envoyé bien avant le confinement mais que je n'ai pas encore eu le temps de lire. Je vous donnerai bien évidemment mon avis lorsque j'aurais terminé ma lecture !
A la prochaine ! Prenez soin de vous.
PS : J'ai créé un compte Instagram pour le blog. Vous pouvez me trouver sous ce pseudonyme @SaorsaReading. N'hésitez pas à me suivre ! ;)